L'Assassin de Midgard.

Typhus regardait du haut d'une colline l'étendue de la cité de Midgard. Il trouvait cela très grand, il était impressioné et son coeur battait très fort. Il se demandait même si il n'allait pas sortir de sa poitrine. Mais il lui fallait rester fort.

Là-bas il n'aurait que très peu d'ami. En effet Knessir avait dû corrompre une bonne partie de la race avec son culte de Sythis. Même son maître, Faye, avait penché pour ce Dieu. Alors il se demandait chaque jour un peu plus ce qu'il venait faire ici, qu'est ce qu'il allait y gagner, peut-être même qu'il pourrait perdre beaucoup de chose.

Cette nuit la, il la passa dehors, à une centaine de mètre de la citadelle.


En plein milieu de la nuit il se réveilla angoissé. A vrai dire il se sentait épier. Il tourna autour de lui même pour voir si personne n'était là. Il se concentra légerement et su que quelqu'un de malveillant était là près à bondir pour annhiler l'assassin.

Il se rendorma comme si de rien était.

Au moment ou l'assassin se pencha au dessus du corps couché de Typhus, ce dernier se leva et en éclair passa derrière la masse noire son couteau sous la gorge. Il lui dit:

Tu diras à l'ecoutant de Sythis que si jamais il voulait me tuer, se serait beaucoup plus efficace si il le faisait lui même...

Mais de quoi vous parlez ?! L'écoutant de quoi ?! Puis lachez moi enfin !!!

Quoi vous n'étes pas un tueur ?

Non ! Je suis un simple mércenaire et on m'a chargé de m'occuper de vous à votre arriver. Voila plusieurs jour que vous dormez ici, je vous vois ! Que faîtes vous à la fin ?!

Détends toi tu veux... Et puis d'abord je n'ai besoin de personne pour rentrer en Midgard...

Justement si ! Les généraux sont en train de se réunir pour savoir si tu seras accpeter !

Quel est ton nom, tu parais jeune...

Mon nom ?... Euh... c'est Hans Arkhador monsieur !

Bah ne m'appelle pas monsieur ! Bon allez, je te suis, direction Midgard.

Les deux guerriers s'en allèrent en direction de Midgard et Typhus pensa:

Citation :

Je sens les auras des personnes, c'est une des capacité des assassins. La tienne est mauvaise, tu es si jeune et dejà dans la Main Noire. Sythis recrute au berceau ou quoi...

Je sens que je vais regretter de t'avoir laisser en vie...

Typhus regarda Liona un cours instant et pensa:

Citation :

Elle aussi elle en fait partie... N'y a-t-il donc personne ici qui n'a pas succombé à Sythis...
Je sens que ma tache ici va être plus dure que prévue

Ne m'adresse pas la parole et je ne t'appelerais pas Dame Liona...

Voilà fort longtemps que Typhus n'avait pas parlé sur un ton aussi froid que celui là.

Il continua donc son chemin dans les rues de Midgard toujours accompagné par Hans Arkhador.

Typhus tire peut être des conclusions hâtives, ou pas, ou peut etre que si....

Comme à son habitude, Krelian aimait se promener seul, entre chien et loup, dans Midgard, la cité éternellle. Au détour d'une ruelle, il apperçu deux silhouettes au milieu de la brume. Sa main glissa lentement sur le pommeau de son épée, quand il distingua un Hans Arkhador accompagné d'un inconnu.

Bien le bonjour Messire Hans. Vous voilà bien matinal aujourd'hui

Hans Arkhador lui répondit par un sourire crispé, puis s'éloigna d'un pas soutenu, toujours accompagné de Typhus.
En les regardant disparaitre dans le brouillard, Krelian pensa:

Citation :

Quel étrange individu.

Pendant tout ce temps, sa main n'avait pas quitté le pommeau de son épée....

Hans marche au côté du nouveau venu, pour se rendre à la salle du conseil... Attaché à la tradition d'accueil du peuple des z'homs; il a déjà émis un avis favorable à la venue de Typhus dans notre peuple. Cependant, l'étranger lui semble bien arrogant, et présomptueux... Ce n'est assurément pas la qualité d'un jeune chevalier, qui se doit d'être humble... Es ce que ce choix est judicieux ? L'avenir le dira...

Déjà, harfan le corbeau de hans apporte une missive, chargée de ses premières observations sur l'ex béonides, a ses frères. Pendant ce temps léïa Lyllendolyn la buse espionne de Hans surveille la zone; son regard perce le brouillard.... Hans jubile en son fort intérieur, il c'est fait passer pour un benêt auprès de Typhus; et celui-ci est tombé en plein dans le panneau ! Mais l'homme en armure ne laisse rien percevoir aux autres, de ses sentiments. Tout ce déroule comme prévu...

Hans décide de rompre la monotonie de la marche en engageant la conversation, sur un ton faussement amical:

Alors messire Typhus, es ce que la montagne est un endroit aussi vaste que le bois au 9000 cochons ? On ma raconté que l'on peut s'y perdre facilement....

Et franchement, je n'y tiens plus ... Qu'es ce qu'un jeune béonide fringuant et vif comme vous, venez chercher parmis nous les z'homs ?

Avez vous entendu parler de notre code d'honneur ? etes vous réellement près à vous plié à notre protocole ?

Dit-il d'un ton mi sérieux, mi sarcastique... Son visage s'ouvre un peut plus, pour laisser apparaitre un demi sourire énigmatique...

Il était inutile de se dissimuler, dans l' obscure froideur de la nuit, il avait observé Typhus. Le jeune néo humain n'était pas un inconnu pour l'Ecoutant de la Confrérie. jadis, il avait tenté de le faire venir en tant qu'assassin dans la Main Noire, mais hélas, celui-ci avait repoussé l'offre.

-"Il ne désire que nous vaincre, pauvre utopiste" Pensa Knessir, allongé sur son lit dans la chambre qu'il occupe à Midgard.

Knessir se releva et s'adossa à sa fenêtre, déjà il repérait Harfan, le corbeau de hans, son frère.

-"Il s'envole déjà vers notre repaire. La venue de typhus ne sera pas une surprise pour nous, j'ai eu raison d'envoyer Hans en curieux, surtout de se faire capturer exprès afin de mettre Typhus en confiance..." dit-il un sourire en coin.

Mettant sa robe noire, il décida qu'il était temps d'aller rejoindre ses compagnons humains.

-"Patience, rien ne presse, finalement, c'est bien qu'il nous rejoigne, il sera tellement plus facilement corruptible...

Hans se méfie du nouveau venu. Il semble froid, à moins que ce soit une carapace... Il évite les questions plus sûrement que le vent s'engoufre dans un cayon... Il commence à regretter de ne pas avoir, emmener l'étranger dans un lieu obscure... Mais autant pouvoir l'observer, et puis le chevalier se doit d'emmener le nouveau venu en salle du conseil; ou son sort sera bientôt scellé.... Néanmoins une sombre pensée se dissimule dans les arrières pensées du chevalier.

Tout en marchant, Hans répond à Typhus:

Eh bien oui, et non; tout dépend ce que vous entendez par loin... Si vous considérer cela par quelque chose d'instantané, assurément : non ! Si vous pensez à une cour moment comparé à un cycle de lune: Oui !

Un semblant de sourire narquois peut être aprerçut sur le visage du chevalier. Les rues défilent sans fin, la cité forte de Midgard est immense.

L'inconnu n'a sans doute pas bien évaluer la distance qui les sépares du grand donjon... Ou a t-il gagné du temps...

Le soleil est désormaias haut dans le ciel azur, moucheté de nuage clairsemé, le brouillard semble s'être totalement levé. La brusqyerie de ce changement laisse rêveur... Et enfin à quelques centaines de mèrtre la puissance forterresse se dresse au sommet d'une colline, encerclée par la ville fortifiée... Sa magnifiquance anéantit tout désir de véélité envers le peuple des z'homs de bien des crétures bonnes de ce monde...

Nous voici bientôt arriver messire ! Je vous conseille de faire preuve de maturité lorsque vous serez dans la salle ...

Le ton employé est déconcertant...

Vous allez découvrir un buffet grandiose, et de très bon vin... Je les ais moi même choisi ce matin... Profitez en...

Tant que vous en avez la possibilité ... Songe Hans, un léger rictus de satisfaction en commisure de ses lèvres...

Après avoir approcher la Bâtisse, et plusieurs gardes armurés qui se sont mis au arde à vous, sur le passage du chevalier et de l'étranger. Hans pousse une lourde porte en chêne massif, et dévoile la grande salle, ou les z'homs accueille les nouveaux venus.

Voici messire, prenez une chaise sur votre droite, et je ne saurais que vous conseiller les galettes de messire Innocent, égaelement sur votre droite... Je vous sert un verre d'hypocras, vous avez fait long voyage, cela vous fera le plus grand bien...

Un sourire jovial apparut sur le visage de Hans.... On dirait un autre homme, il semble très absorbé par le protcole de réception du nouvel arrivant. Il apparait également qu'il n'est pas envisageable, pour Le nouveau venu de refuser les offres de celui-ci...

Assurément le protocole, et la politesse ne sont pas des arts connus chez les béonides... Ou plutôt chez celui-ci, puisque Knessir et faye se sont fondu dans le paysage dès leur arrivée...
La patience de Hans, pourtant reconnue par ses amis, est mise à l'épreuve cette fois-ci...

Quand soudain le chevalier relève un détail: c'est étrange, aucun des z'homs à cette heure dans la pièce....

Ainsi donc vous pensez ne pas avoir le coeur "noble" ?

Du jus de pomme pour notre invité s'il vous plait Isianne...

Répondant à la question de Typhus par une autre question, Hans commence son travail de déstabilisation du nouveau venu, afin de voir si l'étranger est digne de faire partie du peuple des z'homs...

La belle Isianne apporte une caraphe de jus de pomme, et sert un verre à Typhus...

Knessir resta de marbre, il adorait voir son frère Hans se jouer de l'attitude froide de Typhus, pourtant, celui-ci ne bougeait pas, ne changeant pas d'un millième.

-"Se cache-t-il de quelque chose avec cet air froid ?" pensa-t-il...

L'humain retourna dans ses pensées, convaincu que Hans saurait facilement réglé ce contre temps délicat...

Un sourire de satisfaction s'affiche sur le visage de Hans, Typhus semble désemparé, l'êtr froid semble perdre pied... Il ne maitrise pas la conversation...

Un jus de pomme est apporté au jeune futur z'hom...

L'atmosphère de la pièce se fait lourde, les coins d'ombre plus sombre... l'air semble chargé en mana....

Hans avait le sourire jusqu'au oreille ! Ce jeune homme est tellement suspicieux; de la confiance dans la nature hummaine, il n'en a pas la moindre.... Qu'elle tristesse, qu'elle débauche....

Hans prend le verre, et le savoure lentement, afin de montrer son erreur à son interlocuteur...

La vérité, est une question de point de vue, en cela je vous rejoins messire !